Non loin du cap de garde d’Annaba, un grand trou au sommet d’une grande colline apparait de toute la corniche d’Annaba, il s’agit d’une carrière de marbre antique réexploitée par la France coloniale, cette carrière a servi autrefois le marbre doré aux veines pourpres à la ville berbéro-romaine Hippone.